Le 20 août 2018, l'association Temps Partagé a accompagné de jeunes migrants mis à la rue au motif que leur minorité n'est pas prouvée. Ces jeunes doivent vivre désormais sans ressource, sans toît et sans soin, le temps qu'un juge pour enfants examine leurs recours. C'est l'occasion de sensibiliser le Conseil Général, le Parquet, la préfecture, le maire de la grande précarité qui concerne ces jeunes gens. C'est aussi l'occasion d'appeler les quimpérois qui le peuvent, à héberger, même provisoirement, un de ces jeunes migrants.