Après Dark web en 2018, suivi de La chambre des murmures en 2019, voici L'escalier du diable, un nouveau roman addictif signé Dean Koontz, toujours aux éditions L'archipel.
Voici donc la suite tant attendue des aventures de Jane Hawk, ancienne inspectrice du FBI qui a toujours refusé de croire au suicide de son mari. D'autant plus que sa disparition étrange était survenue lors d'une vague de suicides ayant frappé tout le pays. Elle s'est donc lancée dans une vaste enquête, contre la volonté du FBI qui souhaitait étouffer cette curieuse affaire. De flic d'élite, Jane Hawk va devenir alors une fugitive. Pas n'importe laquelle. La plus recherchée des États-Unis. Recherchée par ses anciens collègues, mais aussi par un influent homme de l'ombre manipulant les uns et les autres. Mais la vengeance est un moteur puissant, surtout quand l'enquêtrice est persuadée que son mari a été tué !
Pour Jane Hawk, impossible de savoir qui est le plus grand danger, le gouvernement ou les responsables d'une puissante confrérie secrète aux ramifications innombrables. Dans cette troisième partie, Jane demande l'aide de Sarah qui va lui permettre de se rapprocher des plus hauts niveaux de la société secrète impliquée dans de nombreuses horreurs dont un mystérieux liquide bourré de nano-particules, permettant de modifier totalement la volonté des victimes. Dès les premières pages, l'on comprend qu'une fois encore Dean Koontz a frappé juste et fort. S'il peut se lire, seul, L'escalier du diable, sera encore plus efficace, après avoir lu les deux précédents, Dark web et La chambre des murmures, d'ailleurs parus en format poche. Prévoyez un week-end pluvieux pour y plonger, car nous sommes là, face à un vrai page-turner, impossible à refermer avant la fin. Encore deux autres volumes à venir, déjà publiés aux USA. Patientons pour notre plus grand délice.
Dan29000
L'escalier du diable
Dean Koontz
Éditions L'archipel
Traduit de l'américain par Sébastian Danchin
2020 / 433 p / 24 euros