Grand soulagement hier soir lors de
l'élection, au cinquième tour, de la bulgare Irina Bokova. Le censeur-en-chef à tendances antisémite Farouk Hosni est battu par une coalition de démocrates.
Première femme à diriger l'Unesco, Irina Bokova est une ancienne communiste, diplomate de carrière, ambassadrice de la Bulgarie en France, et auprès de l'Unesco
depuis 2005.
Elle est agée de 58 ans et a fait ses études supérieures à Moscou, à l'Institut d'Etat des relations internationales. Parcours universitaire brillant avec des spécialisations aux Etats-Unis, à Harvard.
Irina Bokova a été premier vice-ministre des Affaires étrangères et coordinateur principal des relations de la Bulgarie avec l'Union européenne (UE) de 1995 à 1997. Membre du Conseil exécutif de l'Unesco depuis 2007, elle est également vice-présidente du groupe francophone des ambassadeurs auprès de cette institution de l'ONU, chargée de l'éducation, de la science, de la culture et du patrimoine.
Enfin, elle parle couramment anglais, espagnol, français et russe, ce qui semble utile dans une telle institution culturelle internationale. Bref un vrai bon choix qui ne peut que réjouir. Sauf Sarkozy et Hosni...
Elle est agée de 58 ans et a fait ses études supérieures à Moscou, à l'Institut d'Etat des relations internationales. Parcours universitaire brillant avec des spécialisations aux Etats-Unis, à Harvard.
Irina Bokova a été premier vice-ministre des Affaires étrangères et coordinateur principal des relations de la Bulgarie avec l'Union européenne (UE) de 1995 à 1997. Membre du Conseil exécutif de l'Unesco depuis 2007, elle est également vice-présidente du groupe francophone des ambassadeurs auprès de cette institution de l'ONU, chargée de l'éducation, de la science, de la culture et du patrimoine.
Enfin, elle parle couramment anglais, espagnol, français et russe, ce qui semble utile dans une telle institution culturelle internationale. Bref un vrai bon choix qui ne peut que réjouir. Sauf Sarkozy et Hosni...