Pays (*) : Etats-Unis
Lieu d'emprisonnement : Texas
Date d'emprisonnement : 1995
NOM : Skinner
PRÉNOM : Hank
NATIONALITÉ : Américaine
DATE D'EXECUTION PREVUE: Hank Skinner a reçu une date d'exécution pour le 24 mars 2010. Son appel a été rejeté par la Cour d'appel du Texas.
Vous pouvez également envoyer une lettre en ligne au Gouverneur Rick Perry, par l'intermédiaire du site d'Innocence Project (en anglais).
L'AFFAIRE :
Le soir du Nouvel An 1993, une femme de 41 ans et ses deux fils âgés de 22 et 20 ans ont été assassinés. Twila Busby était la concubine de Hank Skinner et ils vivaient sous le même toit.
Hank était chez lui à l’heure des crimes, comateux sur le canapé du salon après avoir bu dans un verre qui n’était pas le sien un mélange d’alcool et de codéine à laquelle il est très allergique.
Le shérif local avait développé une haine chronique à son égard à cause de ses activités militantes concernant les conditions de détention et les droits constitutionnels des prisonniers. Hank avait à plusieurs reprises exposé les manipulations du shérif, du procureur dans les média locaux.
Dès que les meurtres ont été connus de la police, le shérif a décidé que le coupable était Hank avant même de s’être rendu sur le lieu des crimes ou avant que toute enquête ait commencé. Tout ce qui était susceptible de prouver la culpabilité de Hank a été vigoureusement recherché alors que des éléments disponibles pointant vers un autre suspect ont été intentionnellement ignorés.
Depuis 11 ans Hank se bat pour prouver son innocence. Son cas est un exemple dramatique de la justice du sud des Etats-Unis où la vie ne pèse pas lourd lorsque la politique est en jeu.
Les preuves de son innocence se trouvent dans les faits :
• La condition physique de Hank à l’heure des crimes et pendant les heures qui ont suivi montre que sa réaction allergique à la codéine ajouté aux effets de l’alcool l’avaient plongé dans un état comateux et l’avaient rendu incapable de dextérité ou de mouvements coordonnés. Twila a été frappée à la tête à 14 reprises avec le manche d’une hache. Ses fils ont été poignardés dans la région du coeur de façon rapide et répétée. L’expert toxicologiste de la défense, le Dr William Lowry du FBI n’a aucun doute sur le fait que Hank n’était absolument pas en état de se tenir debout sans assistance, encore moins de poignarder 3 personnes en moins d’une minute et demie. Par ailleurs, au moment de son expertise, le Dr Lowry n’avait pas été informé de l’allergie de Hank à la codéine pourtant documentée dans son dossier médical depuis l’âge de 17 ans.
L’avocat commis d’office lors de son procès a laissé le procureur argumenter que Hank était un drogué et qu’il avait développé une tolérance qui lui aurait permis de commettre ces meurtres. La vérité est que son allergie l’avait largement handicapé. Le Dr Lowry a depuis le procès fait un témoignage sous serment pour détailler cette évidence médicale.
• Twila a été étranglée jusqu’à l’évanouissement avant d’être tuée par des mains si fortes que des empreintes de doigts ont été retrouvées sur sa peau et que les os de sa nuque ont été fracturés. A l’époque des meurtres, Hank souffrait d’une plaie à la main droite à cause de laquelle il avait failli perdre son pouce. La plaie s’est infectée au point de nécessiter une opération résultant en une perte de 30 à 35% de la masse musculaire et une perte de 50% de force dans cette main droite. A cette époque Hank pouvait à peine tenir une brosse à cheveux, il est droitier et n’aurait pas pu exercer une pression équivalente des deux mains.
• Malgré une large quantité de matériel génétique récupérée sur le lieu des crimes (coupures d’ongles, kit de viol, deux couteaux, un torchon ensanglanté et une veste d’homme de grande taille trouvée à côté du corps de Twila), rien n’a été testé pour le procès. En 2000 le Professeur de Journalisme de l’Université de Northwestern en Illinois, David Protess, a mené avec des étudiants une enquête sur l’ensemble de ce dossier et a réuni les preuves de l’innocence de Hank. M. Protess a ensuite demandé au procureur de se joindre à la défense afin de réclamer des tests ADN. Le procureur, John Mann, a choisi de mener des tests de façon unilatérale sur les éléments qu’il avait choisis afin « d’ajouter quelques clous » sur le cercueil de Hank. Mann a fait tester deux cheveux retrouvés dans la main de Twila et a déclaré que ceux-ci provenaient forcément de la tête de l’assassin. Alors que Mann s’apprêtait à quitter son poste après avoir perdu les élections à l’automne 2000, il a mené une campagne de diffamation contre Hank pendant 7 mois en déclarant à la presse locale que les résultats prouvaient sa culpabilité. Après qu’il ait quitté son poste, le laboratoire a rendu ses conclusions écrites qui confirment que Hank Skinner est exclus comme donateur potentiel des cheveux et que ces cheveux appartiennent à un homme inconnu, peut-être à un membre de la famille maternelle de Twila.
• L’une des armes des crimes, l’un des deux couteaux retrouvés sur le lieu, a été retrouvée dans un sac en plastique sur laquelle des empreintes ont pu être prélevées. Ces empreintes ne sont pas celles de Hank.
• De larges empreintes de pieds ont été trouvées de la mare de sang autour de la tête de Twila jusqu’à la porte d’entrée de la maison, l’origine de ces empreintes n’a jamais été recherchée. Hank chausse du 42 et ne possédait à l’époque qu’une paire de tennis et une paire de chaussures de ville. Les empreintes retrouvées correspondent à des bottes de taille 46.
• Robert Donnell, l’oncle maternel de Twila, avait un lourd passé de violence et avait été vu par plusieurs témoins à la soirée du Nouvel An chez des amis en train de faire des avances à sa nièce la nuit des crimes. Donnell avait violé Twila deux fois par le passé et était réputé pour sa passion des couteaux. Twila a été retrouvée avec la fermeture éclair de son pantalon ouverte et son chemisier relevé au-dessus de sa poitrine. Le médecin légiste a témoigné que les parties génitales étaient rougies.
Lorsque Twila a quitté hâtivement la soirée de réveillon, Donnell l’a suivie quelques minutes plus tard et pourtant il n’a jamais été interrogé sur son emploi du temps à l’heure des crimes. Après être rentré chez lui, Donnell a été informé de la mort de sa nièce et des ses petits neveux vers 5 heures du matin. Il n’a exprimé aucune réaction, mais il a garé son véhicule pour en retirer les moquettes intérieures et il a tout nettoyé à grande eau avec une brosse et un jet ; il a remplacé les moquettes et a repeint la carrosserie. Plus tard un enfant du voisinage a identifié le véhicule de Donnell qu’il avait vu à l’heure des crimes devant la maison de Twila, pourtant la police ne l’a jamais interrogé. Donnell est mort quelques années plus tard dans un accident de la route.
SITUATION ACTUELLE :
L’issue du dossier de Hank est très importante pas uniquement pour lui mais pour l’ensemble des dossiers de condamnés à mort aux Etats-Unis. De son arrestation jusqu’à la stratégie de l’Etat du Texas pour ses appels, nous sommes confrontés à une ligne sans fin de mensonges, de corruption et de manipulation. Lorsque la vérité sortira au grand jour, la jurisprudence établie par ce cas aidera de nombreux autres condamnés à mort à obtenir justice.
Voici les lignes principales de la procédure du dossier de Hank :
• Le lieu des crimes a été fouillé et piétiné par trois équipes différentes de policiers pendant plus de 10 jours et ce sans mandat de perquisition.
• L’avocat commis d’office pour assurer la défense de Hank lors de son procès, Harold Comer, était un proche allié du juge.
Comer était un ex procureur qui avait démissionné pour avoir détourné des fonds saisis dans des affaires de drogue ; il avait, en tant que procureur, jugé Hank deux fois dans le passé. Le procureur qui a instruit cette affaire contre Hank, John Mann, était l’assistant de Comer lorsque celui-ci était encore procureur. Comer était en redressement fiscal et devait environ
90000 $ au fisc lorsqu’il a été nommé pour représenter Hank. A ce jour, Comer aura été l’avocat commis d’office le plus cher payé au Texas – suffisamment pour couvrir son redressement fiscal et pour éviter une peine de prison. Comer a refusé de produire des preuves à décharge lors du procès, des preuves facilement accessibles telles que l’allergie de Hank à la codéine, les empreintes de bottes ou la quantité de tests AND qu’il aurait du faire effectuer et qui aurait disculpé Hank.
Comer a sacrifié la vie de Hank en échange de 86000 $ d’honoraires.
• Lors de sa période de détention préventive, le shérif de la maison d’arrêt a intercepté, confisqué, lu et copié les correspondances entre Hank et ses avocats et a transmis les copies au bureau du procureur.
• Le témoin à charge principal a été menacé d’arrestation pour complicité de meurtre, menacée de voir sa fille de 12 ans citer à comparaître lors du procès à moins qu’elle ne témoigne comme le procureur le souhaitait. Pendant le procès elle était accompagnée de policiers à tout moment pendant ses déplacements et ce jusqu’au moment où elle a témoigné. Elle s’est récusée depuis pour dire la vérité : Hank n’a pas pu avoir commis ces meurtres, il ne pouvait même pas se tenir debout sans être aidé.
POUR PLUS D’INFORMATIONS :
Les dépositions des témoins et des experts ainsi que les documents juridiques et une présentation plus détaillée de ce dossier sont disponibles en anglais et en français sur le site de Hank.
Vous pouvez envoyer vos questions, commentaires ou suggestions directement à Hank :
#999143 – Polunsky Unit
H. W. Hank SKINNER
3872 FM 350 South
Livingston
TX 77351-8580
USA
Lieu d'emprisonnement : Texas
Date d'emprisonnement : 1995
NOM : Skinner
PRÉNOM : Hank
NATIONALITÉ : Américaine
DATE D'EXECUTION PREVUE: Hank Skinner a reçu une date d'exécution pour le 24 mars 2010. Son appel a été rejeté par la Cour d'appel du Texas.
POUR AGIR:
Vous pouvez également envoyer une lettre en ligne au Gouverneur Rick Perry, par l'intermédiaire du site d'Innocence Project (en anglais).
L'AFFAIRE :
Le soir du Nouvel An 1993, une femme de 41 ans et ses deux fils âgés de 22 et 20 ans ont été assassinés. Twila Busby était la concubine de Hank Skinner et ils vivaient sous le même toit.
Hank était chez lui à l’heure des crimes, comateux sur le canapé du salon après avoir bu dans un verre qui n’était pas le sien un mélange d’alcool et de codéine à laquelle il est très allergique.
Le shérif local avait développé une haine chronique à son égard à cause de ses activités militantes concernant les conditions de détention et les droits constitutionnels des prisonniers. Hank avait à plusieurs reprises exposé les manipulations du shérif, du procureur dans les média locaux.
Dès que les meurtres ont été connus de la police, le shérif a décidé que le coupable était Hank avant même de s’être rendu sur le lieu des crimes ou avant que toute enquête ait commencé. Tout ce qui était susceptible de prouver la culpabilité de Hank a été vigoureusement recherché alors que des éléments disponibles pointant vers un autre suspect ont été intentionnellement ignorés.
Depuis 11 ans Hank se bat pour prouver son innocence. Son cas est un exemple dramatique de la justice du sud des Etats-Unis où la vie ne pèse pas lourd lorsque la politique est en jeu.
Les preuves de son innocence se trouvent dans les faits :
• La condition physique de Hank à l’heure des crimes et pendant les heures qui ont suivi montre que sa réaction allergique à la codéine ajouté aux effets de l’alcool l’avaient plongé dans un état comateux et l’avaient rendu incapable de dextérité ou de mouvements coordonnés. Twila a été frappée à la tête à 14 reprises avec le manche d’une hache. Ses fils ont été poignardés dans la région du coeur de façon rapide et répétée. L’expert toxicologiste de la défense, le Dr William Lowry du FBI n’a aucun doute sur le fait que Hank n’était absolument pas en état de se tenir debout sans assistance, encore moins de poignarder 3 personnes en moins d’une minute et demie. Par ailleurs, au moment de son expertise, le Dr Lowry n’avait pas été informé de l’allergie de Hank à la codéine pourtant documentée dans son dossier médical depuis l’âge de 17 ans.
L’avocat commis d’office lors de son procès a laissé le procureur argumenter que Hank était un drogué et qu’il avait développé une tolérance qui lui aurait permis de commettre ces meurtres. La vérité est que son allergie l’avait largement handicapé. Le Dr Lowry a depuis le procès fait un témoignage sous serment pour détailler cette évidence médicale.
• Twila a été étranglée jusqu’à l’évanouissement avant d’être tuée par des mains si fortes que des empreintes de doigts ont été retrouvées sur sa peau et que les os de sa nuque ont été fracturés. A l’époque des meurtres, Hank souffrait d’une plaie à la main droite à cause de laquelle il avait failli perdre son pouce. La plaie s’est infectée au point de nécessiter une opération résultant en une perte de 30 à 35% de la masse musculaire et une perte de 50% de force dans cette main droite. A cette époque Hank pouvait à peine tenir une brosse à cheveux, il est droitier et n’aurait pas pu exercer une pression équivalente des deux mains.
• Malgré une large quantité de matériel génétique récupérée sur le lieu des crimes (coupures d’ongles, kit de viol, deux couteaux, un torchon ensanglanté et une veste d’homme de grande taille trouvée à côté du corps de Twila), rien n’a été testé pour le procès. En 2000 le Professeur de Journalisme de l’Université de Northwestern en Illinois, David Protess, a mené avec des étudiants une enquête sur l’ensemble de ce dossier et a réuni les preuves de l’innocence de Hank. M. Protess a ensuite demandé au procureur de se joindre à la défense afin de réclamer des tests ADN. Le procureur, John Mann, a choisi de mener des tests de façon unilatérale sur les éléments qu’il avait choisis afin « d’ajouter quelques clous » sur le cercueil de Hank. Mann a fait tester deux cheveux retrouvés dans la main de Twila et a déclaré que ceux-ci provenaient forcément de la tête de l’assassin. Alors que Mann s’apprêtait à quitter son poste après avoir perdu les élections à l’automne 2000, il a mené une campagne de diffamation contre Hank pendant 7 mois en déclarant à la presse locale que les résultats prouvaient sa culpabilité. Après qu’il ait quitté son poste, le laboratoire a rendu ses conclusions écrites qui confirment que Hank Skinner est exclus comme donateur potentiel des cheveux et que ces cheveux appartiennent à un homme inconnu, peut-être à un membre de la famille maternelle de Twila.
• L’une des armes des crimes, l’un des deux couteaux retrouvés sur le lieu, a été retrouvée dans un sac en plastique sur laquelle des empreintes ont pu être prélevées. Ces empreintes ne sont pas celles de Hank.
• De larges empreintes de pieds ont été trouvées de la mare de sang autour de la tête de Twila jusqu’à la porte d’entrée de la maison, l’origine de ces empreintes n’a jamais été recherchée. Hank chausse du 42 et ne possédait à l’époque qu’une paire de tennis et une paire de chaussures de ville. Les empreintes retrouvées correspondent à des bottes de taille 46.
• Robert Donnell, l’oncle maternel de Twila, avait un lourd passé de violence et avait été vu par plusieurs témoins à la soirée du Nouvel An chez des amis en train de faire des avances à sa nièce la nuit des crimes. Donnell avait violé Twila deux fois par le passé et était réputé pour sa passion des couteaux. Twila a été retrouvée avec la fermeture éclair de son pantalon ouverte et son chemisier relevé au-dessus de sa poitrine. Le médecin légiste a témoigné que les parties génitales étaient rougies.
Lorsque Twila a quitté hâtivement la soirée de réveillon, Donnell l’a suivie quelques minutes plus tard et pourtant il n’a jamais été interrogé sur son emploi du temps à l’heure des crimes. Après être rentré chez lui, Donnell a été informé de la mort de sa nièce et des ses petits neveux vers 5 heures du matin. Il n’a exprimé aucune réaction, mais il a garé son véhicule pour en retirer les moquettes intérieures et il a tout nettoyé à grande eau avec une brosse et un jet ; il a remplacé les moquettes et a repeint la carrosserie. Plus tard un enfant du voisinage a identifié le véhicule de Donnell qu’il avait vu à l’heure des crimes devant la maison de Twila, pourtant la police ne l’a jamais interrogé. Donnell est mort quelques années plus tard dans un accident de la route.
SITUATION ACTUELLE :
L’issue du dossier de Hank est très importante pas uniquement pour lui mais pour l’ensemble des dossiers de condamnés à mort aux Etats-Unis. De son arrestation jusqu’à la stratégie de l’Etat du Texas pour ses appels, nous sommes confrontés à une ligne sans fin de mensonges, de corruption et de manipulation. Lorsque la vérité sortira au grand jour, la jurisprudence établie par ce cas aidera de nombreux autres condamnés à mort à obtenir justice.
Voici les lignes principales de la procédure du dossier de Hank :
• Le lieu des crimes a été fouillé et piétiné par trois équipes différentes de policiers pendant plus de 10 jours et ce sans mandat de perquisition.
• L’avocat commis d’office pour assurer la défense de Hank lors de son procès, Harold Comer, était un proche allié du juge.
Comer était un ex procureur qui avait démissionné pour avoir détourné des fonds saisis dans des affaires de drogue ; il avait, en tant que procureur, jugé Hank deux fois dans le passé. Le procureur qui a instruit cette affaire contre Hank, John Mann, était l’assistant de Comer lorsque celui-ci était encore procureur. Comer était en redressement fiscal et devait environ
90000 $ au fisc lorsqu’il a été nommé pour représenter Hank. A ce jour, Comer aura été l’avocat commis d’office le plus cher payé au Texas – suffisamment pour couvrir son redressement fiscal et pour éviter une peine de prison. Comer a refusé de produire des preuves à décharge lors du procès, des preuves facilement accessibles telles que l’allergie de Hank à la codéine, les empreintes de bottes ou la quantité de tests AND qu’il aurait du faire effectuer et qui aurait disculpé Hank.
Comer a sacrifié la vie de Hank en échange de 86000 $ d’honoraires.
• Lors de sa période de détention préventive, le shérif de la maison d’arrêt a intercepté, confisqué, lu et copié les correspondances entre Hank et ses avocats et a transmis les copies au bureau du procureur.
• Le témoin à charge principal a été menacé d’arrestation pour complicité de meurtre, menacée de voir sa fille de 12 ans citer à comparaître lors du procès à moins qu’elle ne témoigne comme le procureur le souhaitait. Pendant le procès elle était accompagnée de policiers à tout moment pendant ses déplacements et ce jusqu’au moment où elle a témoigné. Elle s’est récusée depuis pour dire la vérité : Hank n’a pas pu avoir commis ces meurtres, il ne pouvait même pas se tenir debout sans être aidé.
POUR PLUS D’INFORMATIONS :
Les dépositions des témoins et des experts ainsi que les documents juridiques et une présentation plus détaillée de ce dossier sont disponibles en anglais et en français sur le site de Hank.
Vous pouvez envoyer vos questions, commentaires ou suggestions directement à Hank :
#999143 – Polunsky Unit
H. W. Hank SKINNER
3872 FM 350 South
Livingston
TX 77351-8580
USA
Aucune association, organisation ou particulier n’est autorisé à recevoir des donations pour le fond de soutien de Hank Skinner. Rendez-vous sur le site pour obtenir l’adresse afin d’envoyer une contribution en Europe ou aux Etats-Unis. Merci !
Source : ECPM ensemble contre la peine de mort