Comme beaucoup d’éditeurs de sciences humaines, le passager clandestin traverse une période extrêmement difficile. Aujourd’hui, notre activité est menacée.
Malgré tous nos efforts pour surmonter nos problèmes de trésorerie, afin d’honorer nos échéances les plus immédiates nous avons besoin de trouver
15 000 euros d’ici 15 jours.
En sept ans d’existence, le passager clandestin a su imposer un ton original et une voix singulière dans les débats de société contemporains, en éditant, au prix le plus juste, des ouvrages à la fois exigeants et abordables.
Si vous pensez que nous devons continuer à tenir ce rôle, aidez-nous et cliquez maintenant pour acheter des livres :
Plus de 100 titres sont disponibles, dont 8 nouveautés parues en 2014 et 8 paniers thématiques.
Toutes les contributions seront les bienvenues !
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Enfin, vous pouvez envoyer un chèque de soutien à l’ordre du passager clandestin, à l’adresse suivante : le passager clandestin 1, rue de l’Eglise – 72240 Neuvy-en-Champagne.
Nous vous remercions d’avance de votre aide,
L’équipe du passager clandestin
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présentation et choix de textes par Serge Latouche (8 €)
« Il ne faut pas oublier que l’énorme succès du capitalisme s’appuie, entre autres, sur une destruction irréversible de ressources biologiques que trois milliards d’années ont accumulées sur terre. » (Cornelius Castoriadis)
Le rapport inédit, supposé perdu, de Pierre Savorgnan de Brazza, suite à son ultime mission au Congo français en 1905. Jugé explosif, il ne fut jamais publié ; il montre la colonisation sous un jour intolérable.
Le message est clair : on a livré un pays entier à la voracité d’intérêts privés, et l’administration ferme les yeux sur les crimes que commettent ces prédateurs. Dire que la loi du 23 02 1905 a failli comporter un article sur les « effets positifs » de la colonisation... (Le Canard enchainé)
« Gusterson se raidit.
— Mais bon Dieu, ils sont tous bossus ! hurla-t-il.
— Eh bien, évidemment, souffla Fay d’un ton de reproche. Ils portent tous leur mémoriseur. Ce n’est pas une raison pour être aussi agressif. » (Fritz Leiber)
Pourquoi ne pourrions-nous pas connaître à la fois un repos abondant, le plaisir créatif et la satisfaction de faire œuvre utile à la communauté ? Une invitation vigoureuse et profonde à repenser le travail dans nos sociétés dites civilisées !
Critiquant sans quartier par ailleurs le militarisme, le colonialisme, l’esprit de concurrence, la propriété privée des moyens de production, la publicité (déjà !), la destruction de la nature ou le « réformisme tiède », les deux conférences (1884 et 1886) recueillies ici sont introduites balèzement par Anselme Jappe, la terreur des glorificateurs du travail corniaud. (CQFD)
Déjà la version mise à jour, après l'épuisement de la première version ! Ouvrage coécrit par « 1000 mains » sous le nom de Camille, ce petit livre collectif fait le point sur les grands chantiers projetés, lancés ou terminés qui s’avèrent être des gouffres, autant en termes de dépenses d’argent public que de consommation d’espace.
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